"Le livre que j'avais écrit à l'époque ne racontait pas vraiment l'histoire de Magdalena et de moi. Après qu'elle m'avait encouragé à écrire sur elle, je m'étais vite aperçu que je n'y arriverais pas, que j'étais trop bloqué pour la voir et la décrire clairement. La Magdalena fictive avait recouvert la Magdalena réelle comme un masque recouvre un visage. C'était de ça que parlait le livre, des images que nous nous faisons les uns des autres, du pouvoir que ces images ont sur nous."
Fille au Leica (1934) - Alexandre Rodtchenko |
Très beau passage - je le lirai.
RépondreSupprimerJ'espère que vous aimerez.
SupprimerEt bon dimanche, Tania.