M.B.: [...] C’est sans doute pourquoi des banquiers mécènes financent les travaux d’artistes plasticiens contemporains : ils retrouvent implicitement dans cette recherche artistique quelque chose d’isomorphe avec la déterritorialisation néolibérale. La valorisation marchande donnera ainsi sa valeur à l’œuvre : de même que, pour l’idéologie panoptique, tout ce qui est bon apparaît et tout ce qui apparaît est bon, dans la très fâcheuse rencontre entre l’art plastique contemporain et la finance, tout ce qui est bon a un prix et tout ce qui a un prix est bon.
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