... le chiffre des volumes parus chaque année en France est de plusieurs milliers. Lorsqu’on voit les pauvretés, le déluge d’œuvres médiocres qui encombrent les vitrines, on se demande quels ouvrages les éditeurs peuvent bien refuser.
Comme quoi... rien de neuf! Peut-être que ça va me consoler. Je dois dire que ce qui me hérisse, ce sont les éditeurs "avec pignon sur rue" qui ne défendent pas l'écriture mais l'argent. On publie des livres mal fichus "écrits" par des acteurs ou actrice qui sont vendus avant d'avoir été imprimés, ou il y a désormais des auteurs à succès dont tout le monde se plaint que c'est tout le temps la même chose comme la soupe au pensionnat, mais pourtant on ne nous en propose pas d'autre...
Oui, des noms pour aguicher, la rentabilité prime avec des noms célèbres ou des auteurs qui promettent un chiffre certain. Je peux le comprendre, c'est du commerce, mais dans la production ordinaire, à de rares exceptions près, on ne trouve plus le goût du travail bien fait, le petit plus de présentation, la reliure acceptable,.. Après trois jours, vous avez les pages qui se décollent. On se demande même, bêtement, s'il existe encore des correcteurs.
Enfin il reste de petits éditeurs, plus locaux, qui essaient de bien figurer ; à ce propos, j'ai enfin reçu en début de semaine votre enfance verviétoise (les transferts entre bibliothèques de Verviers et Liège prennent du temps mais ils fonctionnent !).
1880 ! Bien vu, monsieur Zola.
RépondreSupprimerDéjà Zola... Mais vous trouvez des perles!
RépondreSupprimerCe qui veut dire qu'il n'y a pas grand chose qui change .. en tout cas dans ce domaine-là.
RépondreSupprimerMerci, merci de répondre à nouveau, avec le señor Zola à ma remarque antérieure....j'avais tout faux donc!
RépondreSupprimerBonne fin de semaine.
@ Tania, keisha, Aifelle, Colo : merci à toutes d'apprécier les vieux dires de l'Émile.
RépondreSupprimerComme quoi... rien de neuf! Peut-être que ça va me consoler. Je dois dire que ce qui me hérisse, ce sont les éditeurs "avec pignon sur rue" qui ne défendent pas l'écriture mais l'argent. On publie des livres mal fichus "écrits" par des acteurs ou actrice qui sont vendus avant d'avoir été imprimés, ou il y a désormais des auteurs à succès dont tout le monde se plaint que c'est tout le temps la même chose comme la soupe au pensionnat, mais pourtant on ne nous en propose pas d'autre...
RépondreSupprimerOui, des noms pour aguicher, la rentabilité prime avec des noms célèbres ou des auteurs qui promettent un chiffre certain. Je peux le comprendre, c'est du commerce, mais dans la production ordinaire, à de rares exceptions près, on ne trouve plus le goût du travail bien fait, le petit plus de présentation, la reliure acceptable,.. Après trois jours, vous avez les pages qui se décollent. On se demande même, bêtement, s'il existe encore des correcteurs.
SupprimerEnfin il reste de petits éditeurs, plus locaux, qui essaient de bien figurer ; à ce propos, j'ai enfin reçu en début de semaine votre enfance verviétoise (les transferts entre bibliothèques de Verviers et Liège prennent du temps mais ils fonctionnent !).