Voilà qui me rassure de n'être pas le seul. Je procrastine, les billets à faire s'accumulent, je me le disais en me levant, le blog doit être un plaisir, pas une obligation et je me rends compte que pour le moment, je me lasse.
un bon petit dessin comme ça , peux te relancer sur d'autres chemins (apprends à ton petit bonhomme à contourner la montagne au lieu de la grimper à toute force!). La perte d'envie survient à des moments qu'on ne voit pas venir. Je te rassure, l'envie revient et on se réconcilie avec nos amis les livres, il suffit de trouver celui qui nous redonne le goût.
Pour ma part j'ai avancé sur cette question,je publie quand je me dis c'est prêt. Tout en sachant qu'il peut y avoir des trous, des imperfections que j'assimile à de la vie.
Il faut se garder je pense de vouloir écrire des choses trop définitives. Et parfois la perfection, c'est l'ennemi. Ensuite, bien d'accord qu'il y a des différences de préparation, maturation, conception et d'exigence selon la nature et le propos du texte, évidemment.
Merci pour cet avis réfléchi K. Quand je décide de faire un billet, c'est parti et en général un ou deux jours maximum suffisent pour qu'il soit mûr. Le tout est d'y aller et ça traîne parfois, comme ces derniers temps. Je ne suis pas dans la création, plutôt dans le compte-rendu, mais cela exige sa part de création, bien entendu. Quand l'ossature est écrite, c'est la partie plaisante : polir le texte, pas trop quand même car la perfection est l'ennemi c'est vrai.
j'ai l'impression de me voir par moment là
RépondreSupprimerNous passons tous par là...
SupprimerC'est moi en ce moment !
RépondreSupprimerVoilà qui me rassure de n'être pas le seul.
SupprimerJe procrastine, les billets à faire s'accumulent, je me le disais en me levant, le blog doit être un plaisir, pas une obligation et je me rends compte que pour le moment, je me lasse.
un bon petit dessin comme ça , peux te relancer sur d'autres chemins (apprends à ton petit bonhomme à contourner la montagne au lieu de la grimper à toute force!). La perte d'envie survient à des moments qu'on ne voit pas venir. Je te rassure, l'envie revient et on se réconcilie avec nos amis les livres, il suffit de trouver celui qui nous redonne le goût.
RépondreSupprimerJ'en parle à mon petit bonhomme...!
Supprimer:-)
Genre Sisyphe...mais oui, ça arrive parfois, pour moi un peu de paresse aussi...je lis, lis, traduis, puis je tarde à mettre à écrire.
RépondreSupprimerBon week-end.
Un peu de paresse, puis cette irritation, parfois,souvent, de ne trouver que banalités à écrire... Bonne semaine Colo.
SupprimerPour ma part j'ai avancé sur cette question,je publie quand je me dis c'est prêt. Tout en sachant qu'il peut y avoir des trous, des imperfections que j'assimile à de la vie.
RépondreSupprimerIl faut se garder je pense de vouloir écrire des choses trop définitives.
Et parfois la perfection, c'est l'ennemi.
Ensuite, bien d'accord qu'il y a des différences de préparation, maturation, conception et d'exigence selon la nature et le propos du texte, évidemment.
Merci pour cet avis réfléchi K.
SupprimerQuand je décide de faire un billet, c'est parti et en général un ou deux jours maximum suffisent pour qu'il soit mûr. Le tout est d'y aller et ça traîne parfois, comme ces derniers temps.
Je ne suis pas dans la création, plutôt dans le compte-rendu, mais cela exige sa part de création, bien entendu. Quand l'ossature est écrite, c'est la partie plaisante : polir le texte, pas trop quand même car la perfection est l'ennemi c'est vrai.
Au sujet de la perfection, je pourrais relire un texte durant quinze jours, j'y retrouverais toujours des choses à améliorer...
SupprimerCette caricature reflète assez bien mon état d'esprit APRÈS la lecture des Contemplations... et AVANT la rédaction du billet...
RépondreSupprimerVous n'êtes pas seule Margotte, accrochez-vous, je suis solidaire...
Supprimer;-)